blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

Papyloup

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Théâtre Alsacien de Saessolsheim

Théâtre Alsacien de Saessolsheim

Blog dans la catégorie :
Voyages

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

Papyloup

LE BIOSCOPE

Entrée Bioscope Détritus, le labyrinthe des déchets Biodétectives, sur les traces des animaux Le Théâtre des éléments, spectacle Les Maitres du Feu BioVolt, les énergies en délire

Entrée Bioscope
Entrée Bioscope 

Le Bioscope est un parc de découverte scientifique situé en Alsace sur la commune d'Ungersheim à proximité de Mulhouse et d'Ensisheim. Il a été financé sur fond publics (Région Alsace) et privés (CDA Parks) et a ouvert ses portes le 1er Juin 2006.

Il propose des activités ludiques (spectacles) ou à vocations pédagogiques (expositions, jeux) sur le thèmes de l'homme et son environnement, donc de l'écologie. La durée de la visite de toutes les attractions est d'environ 3 à 4 heures.

Pour cette saison 2007, le Bioscope à été totalement repensé.

La carte de l'interactivité à été très fortement accentuée ce qui donne un parc totalement nouveau par rapport à la saison 2006.

Côté spectacles, les deux nouveautés de cette saison 2007 sont le BIORAMA (film en 3D sur les dinosaures)et le BIOQUIZZ (spectacle interactif).

Agencé en cercle dont le centre est une simulation de crash de météorite, le parc se compose de trois grands thèmes : "limiter les changements climatiques", "préserver les milieux naturels" et "consommer de manière responsable"

De plus, deux théâtres vous offrent également deux spectacles pyrotechniques et chorégraphiques. A ne pas manquer, l'espace de l'arbre (gigantesque et magnifique) garnit des couleurs des bioprofileurs qui ont effectué le jeu qui est proposé tout au long du parc.

L'architecture de Fréderic Jung et le paysagisme de Ursula Kurtz sont réussis et appréciés des visiteurs de même que l'exposition temporaire Dinosaures (jusqu'au 11 novembre 2007), et le spectacle "Les Maitres du Feu", du groupe F, présenté au Théâtre des éléments.

Les expositions temporaires

  • Saison 2006 (du 1er juin au 11 novembre) : Cradologie, la science impolie du corps humain.
  • Saison 2007 (du 17 mai au 11 novembre): Dinosaures, les dinos ont les crocs !
  • Saison 2008 La vie, et plonge dans le corps humain !!!!

 

L'ECOMUSEE D'ALSACE

Ecomusée d'Alsace Ecomusée d'Alsace Ecomusée d'Alsace Ecomusée d'Alsace Ecomusée d'Alsace

Ecomusée d'Alsace
Ecomusée d'Alsace 

L’écomusée d’Alsace est un village vivant recréé de toutes pièces sur une friche industrielle de mines de Potasse d’Alsace. C’est un musée vivant dans lequel sont regroupées et reconstituées d’authentiques constructions alsaciennes (maisons à colombages, maisons d’ouvriers, boutique, mairie, tour fortifiée, Halle des fêtes, ferme, école, lavoir, jardins, champs…), généralement anciennes (certaines datant du XVe siècle) et visitables, où des acteurs costumés, dont certains sont bénévoles, présentent les travaux traditionnels de la région au moyen d’outils d’antan : forgeron, charron, tonnelier, scieur, sellier, menuisier, boulanger…). Ce vaste musée vivant de plein air, situé à proximité de la commune d’Ungersheim, organise souvent des fêtes folkloriques conviviales, pour la plupart calquées sur le calendrier liturgique. On peut également s’y restaurer, dans des buvettes ou dans les restaurants. Sa mission dépasse le simple fait de présenter des bâtiments et les us et coutumes d'antan, mais vise la transmition d'un patrimoine vivant par la formation d'artisans et la sensibilisation des plus jeunes par l'intermédiaire de classes d'environnement et de séjours en été.

Il comporte également un très grand carrousel-salon : « l’Eden Palladium » (unique en Europe), datant de 1909, un manège et un bâtiment entièrement démontables. C'était un lieu autrefois réservé aux adultes, qui aujourd’hui fait la joie des enfants et qui fonctionne depuis toujours à l’électricité (autrefois à l’aide d’une génératrice à vapeur), les autres modèles de l’époque ayant disparu, bien souvent dans des incendies.

Il est à noter qu'à l’heure actuelle, l’Écomusée traverse une passe difficile et doit faire face à un plan social qui verra disparaître plus de la moitié des salariés du site dès janvier 2007… Aujourd'hui le site est sauvé par un partenariat avec son voisin le bioscope

 

 

LE MUSEE DE L'AUTOMOBILE

Audi type.E(1923) Mercedes 300S Coupé Bugatti Racing Cars Mercedes double Phateon Bugatti new front Veyron

Audi type.E(1923)
Audi type.E(1923) 

La Cité de l'Automobile, Musée national de l'automobile ou Collection Schlumpf de Mulhouse est le plus grand musée d'automobile pionnières du monde (1878 à 1918, avec 500 véhicules dont 464 automobiles de 98 marques, dont la célèbre collection des Frères Schlumpf (plus importante collection de Bugatti du monde avec trois des six fameuses Bugatti Royales dont la Bugatti Royale coupé Napoléon personnelle d'Ettore Bugatti) ainsi qu'une importante collection de Rolls Royce.

 

Historique
L'initiative de la collection revient à deux industriels du textile alsaciens du XXe Siècle, les frères Schlumpf, Hans Schlumpf (1904-1989) et Fritz Schlumpf (1906-1992).

Passionnés et obsédés par leur collection, ils ont investis secrètement au moment de leur splendeur toute leur fortune et plus, dans les années 1970, pour acheter aux quatre coins du monde, des voitures prestigieuses et rares des débuts de l'automobile, qu'ils faisaient entièrement restaurer.

Les 500 automobiles de prestiges restaurées sont abritées dans des hangars industriels (décorée par 500 luxueuses répliques de candélabres du Pont Alexandre-III de Paris) à trois endroits différents à Mulhouse, séparant les Rolls Royce, les Bugatti et les autres marques.

En 1977, Fritz Schlumpf est à deux doigts d'ouvrir son musée au public. Les billets, les cadeaux souvenirs sont déjà en place. Mais les deux frères sombrent dans la faillite suite à la crise du pétrole et du textile de 1976 et à des dépenses beaucoup trop considérables pour leur passion.

Le 7 mars 1977 les ouvriers licenciés économiques de l'empire textile des frères Schlumpf découvrent les stupéfiants musées secrets en même temps que le monde entier par les médias, les envahissent et en ouvrent l'accès au public. Le syndicat CFDT organise les visites gratuites du musée et le nomme « Musée des travailleurs ».

Jean Panhard fonde L'Association du Musée National de l'Automobile avec la ville de Mulhouse, le département du Haut-Rhin, la région Alsace, la chambre de commerce  Sud Alsace , la société Panhard  et l'Automobile Club de France  pour sauver cet exceptionnel patrimoine national et le maintenir en Alsace. 422 modèles sur 560 de la collection sont inscrits aux Monuments Historiques. La longue procédure judiciaire impose à l'État français de payer 40 millions de francs au syndic de la liquidation Schlumpf pour se porter acquéreur de la collection des Frères Schlumpf (une fraction infime de la valeur réelle de la collection).

En 1978 le Conseil d'État classe la collection monument historique puis la vend pour 44 millions de francs en 1981 à l'Association du Musée National de l'Automobile qui acquiert collections, terrains et bâtiments. En 1982, l'association aménage un musée dans un lieu unique à Mulhouse et l'ouvre au public. En 1989, le musée est baptisé « Musée national de l'automobile - Collection Schlumpf ».

En 2006 le musée est agrandi, restructuré, rénové et renommé Cité de l'Automobile pour un montant de 20 millions €. Il rouvre ses portes le 7 juillet.

Collections

500 véhicules dont 464 automobiles de 98 marques :

  • Plus importante collection de Bugatti du monde (collection des Frères Schlumpf) avec trois des six fameuses Bugatti Royales dont la Bugatti Royale coupé Napoléon personnelle d'Ettore Bugatti)
  • « La période des pionniers de l'automobile » s'étend de 1878 à 1918 avec des Panhard, Peugeot, De Dion, Benz, Porsche, 123 Bugatti, 3 Bugatti Royale dont le coupé Napoléon personnel d'Ettore Bugatti, Rolls-Royce, Maserati, Ferrari, Mercedes, Hispano-Suiza, Delahaye  , Panhard & Levassor, Peugeot , Renault, Citroën etc…
  • " La course automobile " présente les pionniers de la course automobile à " palmarès " de 1902 à 1939 de Juan Manuel Fangio, Maurice Trintignant, Bugatti Type 35, Mercedes-Benz W196, Ferrari de Formule 1, Gordini, Maserati, Lancia ...
  • " Les chefs d’œuvre " rassemble les 80 plus belles voitures des années 1930 dont les célèbres Bugatti Royales.
  • Des voitures qui ont marqué l'histoire moderne telles que Peugeot 205 Turbo 16, prototypes des années 1980 et années 1990, Peugeot 905, Porsche 935, Porsche 956, Bugatti EB110, Bugatti Veyron ...
  • Le complexe propose également cinématiques, muséographie, restaurant, boutiques, librairie ...

 

LE MONT STE ODILE

Le mur païen La statue de Ste Odile qui veille sur l'Alsace Le couvent du mont Ste Odile

Le mur païen
Le mur païen 

Le Mont Sainte-Odile (Odilienberg en allemand) est une montagne vosgienne culminant à 763 mètres, surmontée par un couvent.

Haut lieu de la culture alsacienne, c'est un lieu de pèlerinage très fréquenté consacré à sainte Odile, sainte patronne de l'Alsace, bien que le monastère ait été transformé en hôtel.

Le monastère

Le monastère a été créé vers 700 quand le père de sainte Odile lui légua le château de Hohenbourg. Sainte Odile le transforma en couvent.

Très populaire, l'endroit devint un lieu de pèlerinage très fréquenté, notamment par les personnes atteintes de maladies oculaires et accueillit jusqu'à 130 moniales.

En 1789, le couvent est vendu. L'évêché de Strasbourg le rachète en 1853 et le rétablit à sa vocation monacale.

On peut encore voir le tombeau de sainte Odile dans une chapelle attenante au cloître. Les tombeaux de ses parents, Alaric (aussi appelé Etichon) et Bererswinde, y sont aussi conservés, bien qu'ils soient des ajouts plus tardifs (IXe siècle et XIe siècle). Ces caveaux sont ornés de mosaïques remarquables.

Le mur païen

Le mur païen est une enceinte mégalithique d'une longueur totale d'une dizaine de kilomètres faisant le tour du plateau du Mont Sainte-Odile pour former une enceinte. Formé d'environ 300 000 blocs cyclopéens, il fait entre 1,60 m et 1,80 m de large et peut atteindre 3 m de hauteur. Ses origines restent obscures et controversées et source de fantasmes. Certaines origines que l'on attribue au mur tiennent en effet plus des contes et légendes que de faits historiques incontestables. Le qualificatif de païen lui a été donné par Léon IX.

Les chercheurs n'ont pu définir s'il s'agit d'une enceinte défensive ou d'une enceinte cultuelle, et sa période de construction n'a pas pu être définie. Il semblerait qu'elle remonte au IIe siècle avant JC, mais d'autres auteurs pensent à une construction beaucoup plus ancienne (âge du bronze).

Le mur a été classé monument historique en 1840. La qualité de conservation du mur est assez variable. Il a en effet servi de carrière au Moyen Âge et a subi diverses autres dégradations. Les collectivités locales et l'État ainsi que le Club Vosgien mettent peu à peu le mur en valeur et réparent les outrages et vandalismes récents dont il a pu faire l'objet, notamment les fouilles archéologiques non autorisées.

Récemment, une étude portant sur des tenons en chêne en forme de queue d'aronde  retrouvés sur le mur lui a donné la fin du VIIIe siècle pour date (soit à peu près la date de création du couvent). C'est une date relativement récente comparativement aux origines pré-romaines voire pré-celtiques communément données. Pourtant cela ne signifie pas que le mur fut construit à cette époque, ces tenons pouvaient faire partie d'un travail de réfection de l'ouvrage.

Le crash aérien

Le 20 janvier 1992 à 19h20, un Airbus A320 s'écrase sur une crête proche du Mont Sainte-Odile faisant 87 morts et laissant 9 survivants.

 

 

LE HAUT KOENIGSBOURG

Le Haut Koenigsbourg Le Haut Koenigsbourg Le Haut Koenigsbourg Le Haut Koenigsbourg Le Haut Koenigsbourg

Le Haut Koenigsbourg
Le Haut Koenigsbourg 

Le château du Haut-Kœnigsbourg (en allemand Hohkönigsburg) est un château médiéval qui se situe dans la commune française d'Orschwiller dans le département du Bas-Rhin en Alsace.

Le cadeau au Kaiser

Depuis 1871 et le traité de Francfort, l'Alsace est devenue allemande. Le 4 mai 1899, alors en ruine, le château et les terres l'entourant sont offerts par la ville de Sélestat à l'empereur allemand Guillaume II, qui souhaite y créer une sorte d'éco-musée vantant les qualités de la période médiévale de l'Alsace et plus généralement du monde germanique.

La direction de la restauration de ce château fort est confiée en 1900 à Bodo Ebhardt, architecte et archéologue berlinois âgé de 34 ans. Il commence par le déblaiement du site et les relevés des anciennes constructions. La restauration s'étalera de 1901 à 1908. L'objectif de Bodo Ebhardt est de le restaurer tel qu'il se présentait à la veille de la Guerre de Trente Ans, mais manquant de sources, il doit improviser sur de nombreuses parties du château, accentuant même dès que possible les éléments les plus pittoresques et répondant au goût du Kaiser, mais s'éloignant ainsi de la fidélité historique de la reconstitution.

Le nouveau château du Haut-Kœnigsbourg est inauguré le 13 mai 1908. À l'issue de la Première Guerre mondiale, les biens de l'empereur, dont le château, sont récupérés par l'État français.

Aujourd'hui

Ce monument historique bénéficie aujourd'hui d'une très forte fréquentation touristique. Le blason de Guillaume II est toujours visible au sein du château. Il reste ainsi un des symboles en Alsace de la présence allemande entre 1871 et 1918, partagé entre la restauration majoritairement crédible de l'architecte et la vision romantique du Moyen Âge de Guillaume II.

Appartenant à l'État français depuis 1919, le château Haut-Kœnigsbourg fut transféré par l'État au Conseil général du Bas-Rhin en janvier 2007. Ce transfert fut le premier bien patrimonial transféré par l'État à une structure décentralisée parmi une liste de 176 biens transférables arrêtée en 2004.

Le château du Haut-Kœnigsbourg est l'un des sites touristiques les plus visités en France, avec près de 500 000 visiteurs par an.

 

Minibluff the card game

Hotels